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Fès

21 et 22 avril

Avec guide

Pour ce premier après-midi , nous avons réservé un guide au camping. Il se révèle sympathique et très cultivé mais particulièrement lent et nous piétinons derrière lui dans les rues étroites et bondées de la medina. Non seulement on se fait bousculer par ceux qui viennent de face, mais, en plus, par ceux qui sont dans la même direction que nous et qui nous écartent, plus ou moins aimablement, de leur trajectoire. Avouons-le, nous sommes un peu déçus : les plus beaux bâtiments sont interdits aux non musulmans et nous sommes souvent contraints d’admirer les cours intérieures depuis le pas de la porte…

Notre guide dans la medina de Fès. Lent, très lent…

Dans la medina de Fès.

Sans guide

De retour, seuls, le lendemain matin, nous déambulons et nous égarons à notre rythme dans les ruelles de la medina. C’est comme ça que nous visitons la petite tannerie Aït Azliten avant de grimper au pied des remparts dans une sorte de terrain vague qui domine toute la vieille ville. Tout cela dans le froid et la pluie : alors que nous apprenons qu’il fait soleil et 20 degrés à Paris, ici le thermomètre oscille autour de 12°, entre orages, averses et éclaircies.

Medina de Fès : jeu de couleurs

Tannerie Aït Azliten : le travail harassant des tanneurs.

Sur les remparts de Fès.

Rappelle-toi Christine il pleuvait sans cesse sur Fès ce jour là…
(Et pendant ce temps, il faisait beau à Brest)