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Les gorges et la haute vallée du Toghdra
3 mai
Tinghir – Agoudal – Imilchil – Lac de Tislit : 120 kilomètres de route
La palmeraie de Tinghir
Une photo de la bande au complet grâce à une sympathique voisine de table.
De gauche à droite : Claude, Véro, Louis-Michel, Christine, Damien et Thomas.
Balade dans la palmeraie.
Le saut de la mort : très beau geste mais pas sûr que ça se finisse bien…
Les gorges et la haute vallée du Toghdra
Si les gorges du Toghdra sont spectaculaires (bien qu’un peu trop fréquentées à notre goût), la haute vallée du Toghdra offre, quant à elle, des paysages merveilleux : les montagnes arides au décor lunaire dominent des vallées verdoyantes, patchworks de champs de blés, de vergers et d’autres cultures. Les villages se fondent dans l’ocre des montagnes. La route s’élève progressivement, jusqu’au village d’Agoudal, le plus haut village de l’Atlas, à plus de 2300 mètres d’altitude.
Les gorges du Toghdra.
Paysage de la vallée du Toghdra
Un village et sa mosquée toute neuve
Agoudal, 2300 mètres. Le printemps est à peine arrivé à cette altitude : les peupliers n’ont toujours pas de feuilles.
L’auberge du lac de Tislit
Depuis que nous avons quitté Tinghir, la température n’a cessé de dégringoler, altitude oblige. Et voilà que peu après Agoudal, les premières gouttes de pluie font leur apparition. Nous poursuivons notre route, passons Imilchil, et poussons jusqu’au lac de Tislit où nous garderons un souvenir ému de l’accueil que nous réserve Malika à l’auberge du lac. Nous posons notre bivouac tout au bord du lac tandis que les deux gars s’offrent le luxe d’une vraie chambre dans l’auberge.
En revanche, côté météo, ce n’est pas terrible : il fait froid et il tombe des cordes. Heureusement, Malika nous ouvre l’auberge où nous pourrons préparer et prendre notre dîner tout près du poêle à bois.
Le lac de Tislit sous la pluie.
Bivouac sur la rive détrempée du lac.
